Qu’ai-je fait depuis un an environ ?

Cela fait dix ans que je traduis des documents en tout genre. Lorsque j’ai commencé, les traductions automatiques me faisaient rire, trop de fautes, trop d’imprécisions. Et au fil du temps, j’ai vu le changement, la progression. À tel point, que pour ce qui est de la traduction de document économique ou technique, la machine a fini par faire mieux (pas de fautes de frappe, traduction quasi parfaite des phrases rabâchées mille fois au fil des rapports. (J’ai recentré depuis mon activité professionnelle vers d’autres horizons …)

La traduction du livre co-écrit par Ewen et Wilder sera sans doute ma dernière traduction. Je suis contente de finir sur cette histoire. La boucle est bouclée.

Je n’ai pas l’habitude de traduire des textes littéraires et je prends beaucoup de plaisir à chercher le mot juste, à prendre le temps de m’immerger dans le récit, de revenir à Bethesda, d’entendre Ewen parler à travers les mots qui défilent.

En ce qui concerne l’utilisation de l’IA pour traduire un texte littéraire, mieux vaut avoir un œil attentif et ne pas faire une confiance aveugle à la machine ! Traduttore, traditore… Pas faux. Les mille et une nuances de la langue, des sentiments, des sous-entendus ne sont pas (encore ?) appréhendables par le robot.

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